Les années 50, une fusée soviétique s’écrase en Allemagne de l’ouest. L’unique passager est un chimpanzé qui répand un virus mortel à tout le pays.

Documentaire réalisé par l’espagnol Javier Chillon

www.javierchillon.com

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« Chienne d’histoire » de Serge Avédikian a remporté  la Palme d’or 2010 au dernier festival de Cannes. L’histoire prend place à Constantinople en 1910.

Les rues de la ville sont envahies de chiens errants. Le gouvernement en place depuis peu, influencé par un modèle de société occidentale, fait appel à des experts européens pour choisir une méthode d’éradication, avant de décider brutalement et seul, de déporter massivement les chiens sur une île déserte, au large de la ville.

Ce fait historique est profondément méconnu en Turquie, tant les autorités successives se sont évertuées à l’effacer de la mémoire populaire, au même titre que toute l’histoire de la fin de l’Empire Ottoman.
Mais, c’est la nature perverse des rapports entretenus par les Européens et les Turcs de l’époque a frappé le réalisateur. Cent ans après, il a souhaité illustrer l’état d’esprit que révèle ce fait à travers la force d’un film.

La bande annonce :

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Pete est un gentil vendeur un peu maladroit. Mais il est aussi un super agent secret mortellement dangereux doté d’un microprocesseur implanté dans son cerveau par des scientifiques du gouvernement ! Il doit secrètement arrêter un groupe de bandits ayant volé une pierre magique capable de transformer tout ce qu’elle touche en crustacés !

Site : salesmanbuck.com

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Article tiré du blog De la confiture dans les oreilles :

Connu pour ses jeux pour enfants et son festival de jazz estival, le Parc floral est surtout, comme son nom l’indique, un jardin de fleurs…

Et parmi les parterres colorés, il en est un que j’affectionne particulièrement : celui des dahlias. Le parc en possède une vaste collection : du plus simple au plus sophistiqué, du blanc pur au rouge profond, ils sont une bonne raison d’aimer la fin de l’été ! Mais la raison précise pour laquelle je suis allée y déambuler ce dimanche-ci (et d’ailleurs, dieu merci, nous n’étions pas très nombreux à avoir eu cette idée !) est le concours annuel de dahlias, qui comprend un « prix du public ». Pour y participer, il suffit de désigner ses trois préférés, et si son tiercé correspond à celui des professionnels, on peut gagner des bulbes ! Hélas, c’était le dernier jour, et il n’y avait plus aucun bulletin de vote disponible… Je ne planterai donc pas de dahlia du parc floral cette année dans mes jardinières !

Heureusement, pour me consoler, cette petite visite fut l’occasion de découvrir une nouveauté (depuis quand ? Peut-être ne suis-je pas de la plus grande fraîcheur, côté nouveauté…) : le chemin de l’évolution. J’avais été déçue par la 4^e serre du Jardin des Plantes, que j’avais trouvée peu pédagogique. Ce n’est pas du tout le cas de ce chemin ! Les panneaux sont très compréhensibles, ils sont plantés à côté des fleurs dont ils parlent et on chemine de millions d’années en millions d’années pour avoir une vision presque limpide du règne végétal actuel et de sa classification.

Irai-je jusqu’à conseiller à l’un des jardins de copier sur l’autre ? Qui sait ! Si je trouve un papyrus pour y gratter ma prose…

Petite note en passant : j’ai vu que « La Fabricca », que j’avais vue et adorée en janvier dernier, est jouée cette année au théâtre Marigny, du 1er au 24 octobre (avec la même mise en scène, mais j’avoue que j’ai oublié le nom des acteurs…). Courrez-y !!!

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Voici un opéra bouffe qui porte bien son nom !  C’est un sacré challenge que celui relevé par cette jeune compagnie des Scarabées Bleus : 25 chanteurs professionnels sur le plateau pour une version pimentée du chef-d’œuvre d’Offenbach La Belle Hélène.

Après deux séries de représentations au printemps et en juillet, la Belle Hélène revient pour sa « deuxième saison ». Nous avons rencontré ce week-end l’interprète d’ Hélène, Inès Berlet, qui nous a présenté un petit avant gout de cette pièce classique remise au gout du jour ! « Ce qui aurait pu être un coup d’essai, s’est révélé être un coup de maître », « le plus beau spectacle de l’année »….. , les critiques sont nombreuses et sacrément positive ! Et ce petit avant gout nous a sacrément donner envie d’y aller !

La Belle Hélène est une œuvre parmi les plus célèbres d’Offenbach. Créé il y a plus de 100 ans, cet opéra-bouffe  impertinent est toujours aussi séduisant : l’humour, les anachronismes, la parodie, le charme de la musique défient le temps. La Compagnie des Scarabées Bleus a souhaité retrouver la fantaisie de cette œuvre, tout en s’attachant à mettre le chant lyrique à la portée de tous les spectateurs, néophytes comme passionnés d’opéra.

Vous pouvez réserver vos places et lire les critiques des spectateurs ici

Les spectacles auront lieu du 30 septembre au 17 octobre, tous les jeudis, vendredis et samedis à 20h, et tous les dimanche à 16h au Théâtre de Menilmontant.

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J’ai récemment découvert l’artiste suédoise Stina Persson et son travail  à base d’encre coloré. Elle utilise différentes techniques : photographie, dessin,collage ou se mêlent habilement des nuances de couleurs très riches. Un portfolio très intéressant et de grande qualité à découvrir sur son site : www.stinapersson.com

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Au sommet d’une colline enneigée, un homme trouve une corde rouge qui tombe du ciel. Et là, comme n’importe quel être humain normalement constitué, il fait ce 99,9% d’entre nous feraient : il tire dessus…

The Dangle de Phil Traill

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Parallels Lines :  5 réalisateurs, 1 phrase

Pour faire la promotion de ses téléviseurs Ambilight, Philips a eu l’idée  de faire appel à cinq réalisateurs – par l’entremise de Ridley Scott et de sa société de production pour réaliser 5 courts métrages destinés à promouvoir le produit. Ces cinq courts ont pour points communs leur durée limitée (entre 2 et 5 minutes), leurs grandes qualités esthétiques et plastiques et surtout le peu de dialogues employés, les cinq œuvres partageant en revanche la même réplique : « it’s a unicorn » (c’est une licorne). Phillips doit être d’autant plus satisfait de sa campagne qu’elle s’est répandue à la vitesse de la lumière depuis son lancement, le 5 avril 2010 : tout ça à cause de l’un des courts, celui de Carl Erik Rinsch.

The Gift met en scène une course-poursuite époustouflante entre un robot et la police moscovite, après deux minutes de pur mystère. Rinsch n’est pas n’importe qui, et certainement pas pour Scott : ce dernier a envisagé un temps de le mettre à la tête du reboot de la saga Alien (oui, vous avez bien entendu, le reboot d’Alien !), avant de l’écarter du projet (puisque que c’est Scott lui-même que la Fox veut !) Mais voilà que Rinsch refait parler de lui, et Hollywood serait en émoi, espérant obtenir les droits de The Gift pour l’adapter en long-métrage …

THE GIFT de Carl Erik Rinsch

Source : http://www.gtfkrou.com

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