LE court-métrage d’animation de l’année 2009 et premier film de Taku Kimura, Kudan, multiprimé en festivals présente un paisible père de famille japonais, amateur de bonsaï, se transformer en monstre de légende mi-homme mi-vache qui prédit guerre et destruction …

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Jérémy Haccoun est un réalisateur français exilé en Angleterre puis aux États-unis.

Il a réalisé ce superbe court « Paradox » en 2006 gagnant de nombreux prix en festival à travers le globe. Il nous arrive enfin ! ( malheureusement pour les non anglophones c’est en V.O non sous-titré )

Auto-financé, il a réalisé les effets spéciaux et le sound design lui-même.  Shooté en PD 150 avec un kit Mini 35.

Il a réalisé son  premier court « the battery » sans budget à la sortie de son école de cinéma :

Avant de passer à la pub pour une tripoté de spots :

jhprod.com

fab-

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L’attaque de l’étoile noire réalisée à la main

Le meilleur hommage à la saga, réalisé en 1999

2 jeunes fan de la trilogie se sont entrainés afin de délivrer leur version d’un combat de sabre laser

Une parodie de l’émission américaine « Cops » à la sauce star wars, présenté par son réalisateur Kevin Rubio

Patrick Boivin , réalisateur français nous livre sa version des AT-AT Walker.

L’empire contre attaque version muet

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ATTENTION, LE CONTENU DE CES VIDÉOS PEUT PORTER ATTEINTE A LA SENSIBILITÉ DES MINEURS

Après des études à l’ENSAD, entre deux ollies et trois accords de guitare, Cédric Blaisbois a réalisé des publicités pour des marques de skate et des labels de musique. Son travail utilise des techniques mixtes et se construit à partir de concepts visuels. Il compose aussi la bande sonore de ses œuvres. Plus jeune, il regardait souvent des films amateurs et a développé, plus tard, un goût pour les histoires sombres. Aujourd’hui, il travaille sur des projets d’écriture de films, avec pour références les premiers films de John Carpenter ou de David Cronenberg. C’est sur, Cédric Blaisbois sait faire parler de lui ! Corporate Occult est renversant, chocant, criant et la vidéo qui suit n’en est pas moins assourdissante .. Sortant de l’ordinaire, des codes trop ringards, voici enfin une vidéo NO LIMIT !

Dans ce clip qui j’en suis sur va vous émouvoir, notre jeune héros s’est malencontreusement « trompé de trou » en faisant l’amour avec sa copine. Séquence émotion… excellente vidéo rendant un vibrant hommage à la sodomie! C’est écrit et joué par Dj Lubel, sous la direction de Bob Mc Keon et produit par Jake Avnet

La marque de jeans Diesel a fêter le lancement de sa nouvelle collection XXX en balançant sur internet une vidéo assez sexy, reprenant le principe du « Safe For Work Porn ». C’est une technique de détournement qui consiste à utiliser une image pornographique, avec une expression des visages assez évocateurs, et de la retoucher grossièrement afin de créer une scène qui n’a plus rien de sexuel… ou presque ! Diesel propose donc une pub virale hilarante, mais assez sexy. Seul bémol : la marque aurait « pompé » cette technique sur une publicité allemande d’une marque qui propose un logiciel de…

Et pour finir ce clip vidéo ou court métrage Rubber Johnny sur la cadence épileptique d’un morceau d’Aphex Twin. En un peu plus de 6 minutes, Chris Cunningham développe un univers à part entière, un esprit dérangé passé au scanner, associant jusqu’à un point de fusion quasi-totale, la musique et l’image.. Une historiette introductive nous plonge dans l’ambiance : Johnny est un mutant hydrocéphale de 16 ans sur une chaise roulante, enfermé dans une cave par des parents honteux et dont le QI ne dépasserait pas celui du chien qui lui sert de seul compagnon. Johnny Rubber est bien plus qu’un simple clip : c’est une expérience subconsciente et sensorielle dénuée de la moindre explication appelant une réaction sans demi-mesure d’adhésion ou de rejet. Tenté par la potion ?

http://www.rubberjohnny.tv/

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La compile Bronzée 3 est enfin arrivée et elle est double !

« Night & day » pour profiter pleinement de vos vacances d’ été ou vous dégourdir les oreilles tout simplement !

Vous pouvez la télécharger ici

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Nous avons fait la connaissance de Chloé Micout en 2005 à l’occasion de la sélection de son film « Sous surveillance » à Courts dans l’herbe . En 1998, Chloé a crée TéléSorbonne (une heure de production hebdomadaire diffusée dans les amphis de la Sorbonne). Directrice des programmes, productrice, réalisatrice et parfois comédienne, Chloé apprend sur le terrain.Elle s’oriente vers la fiction et réalise plusieurs courts-métrages qui obtiennent de nombreux prix dans les festivals. Voici notre dernier coup de cœur :

« Les petits sablés », prix du public au  festival des très courts 2010.

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Le tout nouveau site internet d’ Agnès est en ligne.

Pour découvrir son univers,  c’est ici :

www.agnesdemaegdt.com

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Article tiré du blog De la confiture dans les oreilles :

Pour fêter le dernier week-end avant les vacances, au cours desquelles je roulerai vers d’autres horizons, j’ai passé le samedi après-midi au musée du Quai Branly, profitant des nombreux évènements gratuits que celui-ci organise cet été. J’avais l’intention notamment de visiter (avec un guide) le jardin qui l’entoure, mais la visite a été annulée, et je n’aurai hélas sans doute pas l’occasion d’y retourner d’ici à fin août… Allez-y et racontez-moi ! (tous les samedis à 16h30)

Heureusement, le reste était maintenu et j’ai donc pu passer une heure au soleil, dans un écrin de verdure, à écouter (et regarder !) une conteuse raconter et chanter des histoires de mer (surtout du Nord). En effet, tout l’été, le Conservatoire de littérature orale (Clio) est invité par le musée pour conter, le samedi et le dimanche à 14h30, des histoires sur des thèmes qui changent chaque semaine. Les quelques enfants qui y assistaient étaient fascinés, mais les adultes aussi ! Non seulement par l’histoire en elle-même, mais aussi par le talent de l’oratrice, seule au milieu de tous, capable de se souvenir, de broder, d’enchaîner avec une autre histoire en fonction des réactions de chacun. Je suis toujours admirative de ces gens qui ont une passion et qui savent la transmettre !

Pour me remettre de ces émotions marines tout en restant dans le domaine aquatique, je suis allée visiter l’exposition « Fleuve Congo », qui dure jusque début octobre et a pour objet de montrer les similitudes des cultures disséminées le long dudit fleuve, en Afrique centrale. Comme toujours au quai Branly, les pièces sont magnifiques et la mise en scène soignée. Mais pour une fois, j’ai regretté le manque d’explications, parfois (par exemple, certaines statuettes représentaient des pendus, mais je n’ai pas vu la différence avec leurs voisines immédiates, qui représentaient des ancêtres…). Et comme toujours, j’ai plaint nos amis non francophones : à part les grands panneaux, rien n’est traduit ! Je vous invite toutefois à y aller, serait-ce que pour voir les superbes masques cœur dont l’affiche donne un aperçu !

Et pour finir cet après-midi en musique, j’ai assisté à un des deux concerts de rumba dans l’amphithéâtre du jardin. Il y avait un monde fou et je n’ai pu m’asseoir que derrière, sans rien voir de la scène, mais l’ambiance était chaude et le cadre bucolique. Un contexte parfait pour finir une journée, si les spectateurs n’avaient pas été si agressifs et les agents de sécurité débordés par la masse. Les allées-venues des uns et des autres ont finalement davantage retenu mon attention que la musique en elle-même, et c’est un peu dommage.

Mais que cela ne vous empêche pas de passer vous aussi un samedi au quai Branly, cet été. Le jardin vous réserve plein de surprises : des jeux du monde entier à partager entre amis ou en famille, des animaux mystérieux dissimulés dans les herbes (je vous mets au défi de retrouver le crocodile !)… et hormis pour les concerts, pratiquement personne pour vous ennuyer !

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