Le projet est un peu fou, mais il a de quoi aiguiser les curiosités : la société We prod, à la fois éditeur de DVD, distributeur de films de genre – Bubba Ho-Tep au cinéma, c’est eux – et développeurs de programmes pour la télévision travaille sur une série tirée des histoires parues dans le mythique magazine Métal Hurlant.

Fondé par Moebius, Philippe Druillet, Jean-Pierre Dionnet et Bernard Farkas en 1974, Métal hurlant est un célèbre magazine mensuel français de bande dessinée de science-fiction qui a été publié de 1975 (1977 pour l’édition américaine Heavy Metal) jusqu’à 1987 par Les Humanoïdes Associés. Chaque numéro se compose de plusieurs bandes dessinées originales de quelques pages.

Cette série Fantastique , regroupe plusieurs histoires provenant de la revue mondialement connue Métal Hurlant.
Durée de 26 min. par épisode regroupant 1 à 2 histoires selon leur durée. La saison 1 regrouperait 6 épisodes. La première histoire a été tournée fin juillet 2009 à Paris, il s’agit de COLD HARD FACTS ( de R.A. Jones ) paru dans le magazine Métal Hurlant n° 141 en 2003.

C’est la première fois qu’en France une adaptation de la licence est proposée.

Synopsis : Année 2312, la Terre a désormais une population de 57 Milliards d’habitants. Alors que le Métal Hurlant traverse le ciel de Los Angeles, le destin d’un homme du passé va changer…Sur un ancien site cryogénique, des scientifiques découvrent un corps encore en vie. Le vieil homme, bien que facilement réanimé, est amnésique et ne semble qu’être à même de faire des petits dessins dans sa chambre. Deux cadres vont alors devoir déterminer l’avenir de cet homme. Dans ce monde où l’utilité prime sur le droit de vivre, même le dessin d’un visionnaire pourrait sembler bien inutile…

Plus d’infos sur le site officiel : http://www.we-prod.com/metalhurlant/presentation.htm

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Du 7 au 12 juin, le Festival international du film d’animation se tient à Annecy et célèbre son 50éme anniversaire. Nick Park, Matt Groening, Henri Selick, les équipes de Dreamworks et Pixar… Tous seront là pour rendre hommage à la créativité et à l’imagination qui se sont exprimées ici depuis 50 ans. Avant-premières, expositions, conférences et Master-Class, concours de doublage…etc

Pour le programme c’est ici : http://www.annecy.org/edition-2010/festival/programmation

A noter que Sylvain Chomet y présente son dernier film « L’illusionniste » (4 ans après les  » Triplettes de Belleville ») d’après un scénario plein de poésie de notre regrété Jacques Tati.

L’histoire : À la fin des années 50, une révolution agite l’univers du music-hall : le succès phénoménal du rock, dont les jeunes vedettes attirent les foules, tandis que les numéros    traditionnels – acrobates, jongleurs, ventriloques – sont jugés démodés. Notre héros, l’illusionniste, ne peut que constater qu’il appartient désormais à une catégorie d’artistes en voie de disparition. Les propositions de contrats se faisant de plus en plus rares, il est contraint de quitter les grandes salles parisiennes et part avec ses colombes et son lapin tenter sa chance à Londres. Mais la situation est la même au Royaume-Uni : il se résigne alors à se produire dans des petits théâtres, des garden-parties, des cafés, puis dans le pub d’un village de la côte ouest de l’Écosse, où il rencontre Alice, une jeune fille innocente qui va changer sa vie à jamais. Pour en savoir plus, n’hésitez pas à vous rendre sur son beau site internet : http://lillusionniste-lefilm.com/#/home

Et en bonus le premier court-métrage de Sylvain

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Monsieur Jean Louis Masson, vous connaissez ? Certainement pas plus que moi. Et pourtant, il vient de faire le tour du web Français en moins d’une journée.

Il est sénateur et est l’auteur d’une proposition de loi visant à supprimer l’anonymat des blogueurs non professionnels. Et Dieu sait qu’il maîtrise tout ce qui touche au web :

Via 10 minutes à perdre.

À lire chez Korben : Supprimer l’anonymat des blogueurs ? Nan mais dans tes rêves !

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NINJATUNE aura 20 ans en 2010. À cette occasion Ping Pong présente à l’automne une série d’évènements qui rassembleront les plus grands artistes du label mythique.

À travers deux concerts au Centre Pompidou (15 et 17 septembre), deux soirées club à L’Élysée Montmartre
(10 et 17 septembre) et un line up musclé le 1er Octobre à la Machine du Moulin Rouge, ce festival sera
l’occasion de se repasser deux décennies de création avant-guardiste et sophistiquée.

Restez en contact avec Ping Pong via la page officielle de l’évènement.

Ninja Tune c’est :
Plus de dix millions de disques vendus à travers plus de 45 pays.
Des centaines de concerts par an.
650 Albums produits ou co-produits.
Plus de 190 videoclips.
Plus de 60 groupes répartis autour du monde.
La musique de dizaines de spots publicitaires (Chivas, Citröen, Nissan…).
Près de 20 bureaux à travers le monde : London (UK), Paris (Fr.), Montréal (Can.)…

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▒ 10 septembre 2010 _ @ Élysée Montmartre _ 23h30 ▒

Bonobo (DJ/UK)
Speech Debelle (live/UK)
DJ Vadim & Yarah Bravo (live /UK)
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▒ 15 septembre 2010 _ @ Centre Georges Pompidou _ 20h00 ▒

Andreya Triana
w/ Bonobo and Fink
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▒ 17 septembre 2010 _ @ Élysée Montmartre _ 23h30 ▒

Mr Scruff (DJ/UK)
Roots Manuva (live/UK)
The Herbaliser’s DJs (Ollie Teeba & Jake Wherry/ UK)
Zero dB (DJ/Esp) TBC
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▒ 17 septembre 2010 _ @ Centre Georges Pompidou _ 20h00 ▒

The Cinematic Orchestra
Lou Rhodes
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▒ 1er octobre 2010 _ @ La Machine du Moulin Rouge _ 23h30 ▒

Amon Tobin (USA)
Kid Koala (Canada)
Coldcut (DJ/UK)
The infesticons (Live/USA)
Toddla T (UK)
Poirier (DJ/Quebec)
Jammer (Live /UK)
Daedelus (Live/USA)
Dorian Concept (Live/USA)
Offshore (DJ/UK)

Source : weblastout.com

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Et bien ça donne ça :

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Article tiré du blog De la confiture dans les oreilles :

Le début de ce week-end prolongé était une véritable invitation au voyage, de préférence nostalgique…

Pour commencer, vendredi soir, grâce au théâtre de la Ville, la danse réunissait mes vacances passées et (peut-être) future : Gregory Maqoma, danseur et chorégraphe sud-africain, présentait un spectacle monté en collaboration avec Akram Khan, chorégraphe indien dont j’avais loupé le précédent spectacle sur la scène du même théâtre, et avec Faustin Linyekula, chorégraphe congolais longtemps exilé au Kenya. Seul à danser, mais accompagné de quatre musiciens (violon, violoncelle, cithare et percussions), G. Maqoma dialogue avec différents personnages (son père, ses amis chorégraphes, la reine d’Angleterre, Dieu…) sur l’importance de l’Histoire, le pardon, la recherche de soi… Les lumières et la musique agrémentent des mouvements d’influence tantôt indienne, tantôt occidentale, tantôt africaine. J’ai rarement vu un syncrétisme aussi réussi, aussi fluide. Le tout début du spectacle m’a fait craindre le pire, par sa lenteur (je me voyais déjà devant un autre Lemi Ponifasio), mais finalement le propos était passionnant. Dommage que les représentations soient finies !

Pour continuer dans la même veine, j’ai profité samedi soir d’un des spectacles organisés dans le cadre du focus Afrique du Sud, à la Villette : le concert de Johnny Clegg. En première partie, dont j’ai loupé le début, la musique de Vusi Mahlasela, que je ne saurais qualifier, était très festive. Il faudra que je réécoute cet artiste que je ne connaissais pas. En deuxième partie, en revanche, l’un des musiciens de Deep Forest (eh oui) avait organisé un hommage au football qui m’a laissée de marbre.

Les images étaient parfois belles, mais le thème n’est vraiment pas ma tasse de thé, et cette partie-là m’a convaincue, s’il en était besoin, que la musique électronique n’a aucun intérêt en concert (même si je ne crache pas dessus en soirée). Heureusement, en troisième partie, J. Clegg, bien que malade, a vraiment réchauffé l’ambiance qui était un peu retombée ! A 57 ans, le zoulou blanc est encore en forme et ses démonstrations de lever de jambe n’ont rien à envier à celles des jeunes guerriers des villages à touristes près de Durban ! Je ne connaissais pas la moitié des chansons qu’il a interprétées, ce qui a rendu la soirée vraiment excellente !

Et surtout… j’ai finalement envie de retourner en Afrique du Sud, visiter la partie Ouest que je n’avais pas eu le temps de voir la dernière fois !

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Article tiré du blog De la confiture dans les oreilles :

Histoire d’éviter les foules en ces périodes de jours fériés, j’ai profité d’un pont anticipé pour retrouver mes (très lointaines) racines… dans le Périgord noir. Ces quatre jours ont été riches sur les plans gastronomique (au propre comme au figuré : j’ai un faible pour nos amis les canards et les tarifs de la région défient toute concurrence ! à tel point que j’ai pour la première fois fait des infidélités au confit de ma grand-mère…), culturel (ah, Sarlat la médiévale et la Nouvel ! Rocamadour et ses escaliers…) et naturel (les beaux jardins d’Eyrignac, mélange de liberté anglaise et d’ordre français).

Il fallait toutefois que je choisisse un point d’orgue à ce séjour, et il m’a été difficile de choisir entre deux références du tourisme souterrain : Padirac et ses concrétions calcaires ou Lascaux II et ses taureaux ? J’ai finalement opté pour la seconde même si, alors que j’ai toujours détesté la géologie, le gouffre m’a laissé une très forte impression (je regrette juste que le guide n’ait pas su répondre à toutes mes questions).

J’avais visité plusieurs cavernes préhistoriques de la région lorsque j’étais petite, mais je n’en avais pas beaucoup de souvenirs. Qui plus est, la période ne m’a jamais passionnée. Pourtant, le premier cours de l’année, à l’école du Louvre, m’a fait redécouvrir le paléolithique et m’a donné envie de retourner y jeter un œil. Et je ne le regrette pas ! Passé le côté un peu artificiel du fac similé de Lascaux II, qui n’aide pas à s’imaginer les conditions dans lesquelles ces peintures ont été réalisées, le site est vraiment impressionnant ! Pas tant par la qualité de ses peintures (quoique) que par le fait qu’il y en a à foison : on ne sait plus où tourner le regard !

Ceci dit, les conditions étaient idéales pour prendre du recul (un petit groupe de 6 personnes), mais je ne suis pas sûre que ce soit le cas en pleine saison : faites comme moi, allez-y donc pendant la prochaine ère glaciaire !

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la camera  subjective a toujours fasciné les cinéastes.

Dans les courts et clips suivants, les réalisateurs nous emmènent dans des trips immersifs et « borderlines » mais toujours fascinants !

Cinnamon Chasers – Love deluxe

The Prodigy – Smack my bitch up

C’était un Rendez-vous – Claude Lelouch

Capitaine X de Jan Kounen

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