Article tiré du blog De la confiture dans les oreilles :

Vous l’aurez compris, si je partage aisément mes impressions sur des spectacles ou des expositions, il est plus rare que je parle ici de livre. Pas que je n’en lise pas, mais je trouve que, plus encore que ce qu’on voit ou écoute, ce qu’on lit reste exclusivement personnel. J’ai déjà vu des foules réagir unanimement à un concert ou des inconnus échanger quelques commentaires spontanés devant un tableau. Mais, même si je me rappelle d’une fois où, alors que je lisais Cent ans de solitude dans le métro, ma voisine de banquette avait engagé la conversation autour de ce livre qu’elle avait adoré (j’ai déjà hésité à plusieurs reprises à le faire à mon tour, mais n’ai jamais osé, de peur de me faire rembarrer !), je n’ai encore jamais vraiment partagé les impressions que me procurait un livre. C’est drôle, d’ailleurs, parce que c’est exactement ce que dit une auteure pseudo-homonyme (Alice Ferney) dans le livre que je suis en train de lire… mais celui-là, je ne sais pas si je le partagerai avec vous, tellement il me touche.

En revanche, je veux absolument parler d’un autre livre que je viens de terminer, parce que, comme Rû, il est court et facile à lire, et que j’ai donc grand espoir que vous vous le procuriez et le lisiez aussi. Surtout, il est paru en poche et se trouve facilement, son prix Femina aidant : il s’agit de Où on va Papa ?, de Jean-Louis Fournier.

Le grand Pierre D. disait qu’on peut rire de tout, mais pas avec tout le monde. J.-L. Fournier essaie de prouver le contraire de ce que disait son ami : on peut rire avec tout le monde de ses propres déconvenues, même quand c’est socialement mal vu. Le propos de départ est loin d’être gai, certes (les deux fils de l’auteur sont lourdement handicapés), mais la manière dont il en parle, avec des phrases courtes et directes, ironiques souvent, presque puériles parfois, donne un ton léger au récit d’une vie qui est loin de l’être (c’est d’ailleurs ce qu’on lui a reproché…).

Je me disais en commençant qu’il aurait peut-être mieux valu que j’attende le retour des beaux jours pour lire ce livre, mais finalement non. J’avais peur d’en ressortir déprimée et pessimiste, mais ce ne fut pas le cas. Je dois admettre, cependant, que cette lecture soulève beaucoup de questions qui ne trouveront sans doute jamais de réponse… Mieux vaut donc éviter de le lire si l’ont veut garder ses certitudes bien au chaud.

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Le Festival L’Afrique dans tous les sens est une invitation à un voyage initiatique : six jours pendant lesquels l’Afrique se dévoile et se décline autour des cinq sens.

Chaque jour un sens est à l’honneur pour qu’au bout du parcours, le dimanche, tous les sens se retrouvent et se mélangent au cœur d’un marché africain en plein air. Si vous avez été bien initiés, vous sentirez sûrement, au détour d’un coin du marché, ce sixième sens que vous garderez alors jalousement, pour longtemps.

Six jours au cours desquels le meilleur de la création africaine sera mis en exergue à travers la musique, le cinéma, la gastronomie, les arts plastiques, la mode, la littérature, la poésie, le conte et la danse.

Ce festival unique dans sa forme, riche par sa pluridisciplinarité, dynamique par ses choix artistiques, célèbre l’Afrique décomplexée mais aussi enracinée dans ses valeurs les plus universelles afin d’agir dans la douceur et sensualité pour sa rencontre avec le monde.

Une formule enrichie du festival revient du 4 au 9 mai 2010 afin de célébrer à sa façon le cinquantenaire des Indépendances des pays africains et à la veille de la célébration de l’abolition de l’esclavage le 10 mai ; pour que vive la Renaissance Africaine !

Site et programme : www.lafriquedanstouslessens.com

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Le célébre court-métrage Partly Cloudly en avant programme du dernier Pixar UP (La haut en français)

nous a montré que le ciel est une veritable « aire de jeux » pour les animateurs en tout genre. Vous pouvez voir ci-dessous une selection internationnale de 3  courts-métrages (France, allemagne, Japon) que le ciel inspire.

CLOUDY DAYS

Réalisé par  Kamelia CHABANE, Adrien FLANQUART, Emeric MALVAT et Benjamin TUSSIOT

FALLEN

Réalisée par Wolfram KAMPFFEYER et Sascha GEDDERT

JUMPING

Réalisé par Tezuka OSAMU, créateur du dessin animé Astro le petit robot

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Communiqué de presse de l’Association Vivre Vite, organisatrice du Furia Sound Festival :

Nous vous avions sensibilisés sur les difficultés que nous rencontrions suite au désengagement tardif et brutal de la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise (CACP), malgré une délibération attribuant à l’association le versement d’une subvention triennale (2008,2009 et 2010) et par les méthodes utilisées par Dominique Lefebvre Président de Cergy-Pontoise et Maire de la ville de Cergy (communiqué du 11 mars 2010). Malgré tout, nous nous sommes battus pour organiser la quatorzième édition du Furia Sound Festival à la base de loisirs, nous y étions arrivés tout en réduisant le budget de moitié.

Malheureusement, le retrait de la subvention ne leur a pas suffit !

Le réseau de billetterie de la FNAC a été contacté par des élus de la ville de Cergy pour semer le doute sur l’organisation du festival. Ces élus lui ont également transmis un courrier adressé au préfet signé par Dominique Lefebvre (président de CACP), Dominique Gillot (vice présidente aux finances de la CACP et maire d’Eragny Sur Oise) et Jacques Feyte (Vice président à la culture de la CACP et maire de Neuville) dans lequel ils affirment que sans le soutien de la CACP, le festival ne peut pas se dérouler dans des conditions de sécurité satisfaisantes. (La FNAC nous a transmis ce courrier et donné oralement les nomsdes 2 élus mais ne souhaite pas nous transmettre le mail reçu).

Par voie de presse, nous avons appris que la mise à disposition de la base de loisirs de Cergy-Pontoise ne nous a jamais été accordée dixit sa présidente Dominique Gillot alors que nous avions son accord. Les dates du festival sont d’ailleurs annoncées dans la plaquette 2010 de la base des loisirs de Cergy !!!
Suite à cet article, la préfecture nous a informés qu’elle ne peut pas pour le moment examiner le dossier de sécurité du festival.

Jusqu’où ira leur acharnement ? Une chose est sûre, ils n’en resteront pas là. Nous n’avons plus aucun doute sur leurs intentions : ils veulent la mort du festival peu importe les moyens.
Aux vus de ces derniers éléments révélateurs d’un acharnement à vouloir tuer le festival, nous sommes contraints et forcés d’annuler l’édition du 05 et 06 juin prochain.

Nous prenons à ce jour cette décision douloureuse afin de ne pas mettre davantage en difficultés toute la chaine organisationnelle du festival (artistes, prestataires techniques, billetterie .)
Les billets seront remboursés auprès des points de vente, nous vous informerons de la procédure à suivre dans les prochains jours.

Nous vous donnons rendez-vous pour la 14ème édition du Furia Sound Festival qui se déroulera sur un nouveau site du Val d’Oise avant la fin 2010.

Source : www.furia2009.com

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A LOVE STORY de Spencer Susser

www.bluetonguefilms.com

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Silence, on court ! est dans les starting-blocs. Leur but : promouvoir le jeune cinéma contemporain, favoriser les rencontres avec le public et permettre l’émergence de nouveaux artistes.

Il s’agit de donner à voir des courts-métrages ambitieux et de qualité, portés par des auteurs de moins de 30 ans  les 11 et 12 mai à Nanterre et le 14 au Forum des Images. L’entrée est gratuite.

Si tu veux :

– profiter des premiers rayons du soleil,
– déployer tes talents d’animateurs,
– mais surtout t’amuser en amusant !

Envoie tes nom, prénom et tel à benevoles@silenceoncourt.fr

Plus d’infos : silenceoncourt.fr

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Article tiré du blog De la confiture dans les oreilles :

Depuis plusieurs mois, je veux vous parler de mon troisième musée chouchou (après le Louvre et le quai Branly, pour ceux qui ont suivi) : la cité de l’Architecture, au Trocadéro. Ma petite visite guidée de l’exposition « Androuet du Cerceau » est l’opportunité qui me manquait pour cela ! J’éprouve en effet un grand plaisir à déambuler parmi les statues-colonnes et autres portails monumentaux, ou à errer les yeux en l’air pour admirer les fresques reproduites sur les voûtes. Au-delà de ses collections permanentes, fort bien mises en valeur, la cité organise également des expositions toujours très bien conçues, et surtout très riches en ce qui me concerne, puisque je ne connais à peu près rien en architecture. A tel point que j’hésite à prendre le pass et à m’inscrire à leurs cours du soir l’an prochain !

L’une des expositions du premier semestre (au menu actuellement : la cathédrale de St-Jacques-de-Compostelle et l’œuvre de Claude Parent, architecte assez obscur en ce qui me concerne) aurait dû m’être un peu familière, puisque j’avais entendu parler de Jacques Androuet du Cerceau à peine quelques semaines plus tôt, en cours du Louvre. Je cherchais donc à mettre quelques images sur mes apprentissages théoriques ! Et pourtant… De théorie il a encore été question, puisque l’architecte n’a rien construit ! Du moins, rien n’indique qu’il n’ait fait autre chose qu’influencer ses contemporains et ses successeurs (deux de ses fils sont devenus architectes et ont construit le Pont-Neuf sur la Seine, pour l’un, ou le pavillon de Flore du Louvre, pour l’autre).

Alors pourquoi lui consacrer une exposition ? Tout simplement parce qu’on lui doit de nombreux traités théoriques richement illustrés sur l’architecture, la perspective (il est le premier à utiliser la « vue d’oiseau », par exemple…) ou la décoration et, surtout, un magnifique ouvrage décrivant (parfois de manière un peu fantaisiste) les plus beaux bâtiments de France de son époque (c’est-à-dire du XVI^e siècle) : Chambord (cf. ci-dessus), Fontainebleau, les Tuileries, Verneuil… Certains ont été détruits depuis, ce qui en fait un témoignage précieux. C’est donc une exposition d’architecture… qui ne montre que des livres !

Malheureusement, je crains m’être trop approchée de la date de péremption, une fois encore : l’exposition se termine dimanche 2 mai, et c’est fermé samedi, évidemment… Il vous reste les nocturnes du jeudi pour en profiter !

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Petite selection de 3 courts-métrages de genres différents (le gore, le fantastique et le thriller) pas vraiment la spécialité de nos contrées franchouillardes. Et des réas qui s’en sortent haut la main !

Game of the dead

réalisé par Nicolas Hugon

2019. Le monde est en ruine.
La pandémie qualifiée initialement par les scientifiques de « virus neurasthénique » envahit maintenant l’intégralité de la surface du globe. Et là, les derniers survivants tentent de tuer le temps…

http://www.gameofthedead.fr

L’insomniaque

réalisé par Mathieu Mazzoni

Un homme n’arrête pas de se faire réveiller par les ronflements de sa femme. Un cauchemar sans fin, ou quand les détails insignifiants de la vie vous poussent à la folie.

http://www.myspace.com/matreal

Don De Sang

réalisé par Jérôme Genevray

Une jeune infirmière, a été récemment agressée.Elle  reconnait son agresseur parmi les personnes venues faire don de leur sang.

http://www.myspace.com/jeromegenevray

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